Les précautions à prendre en matière de garantie immobilière
Faire l’acquisition d’un bien immobilier représente un investissement de taille. Compte tenu du montant assez conséquent qu’il va débourser, l’acheteur est tenu de prendre les différentes mesures qui s’imposent pour ne pas faire de dépenses à la légère. Il doit s’assurer du bon état du bien et des recours auxquels il peut prétendre. Ce sont autant de raisons pour lesquelles il est essentiel de bien étudier un projet d’achat immobilier et de connaître les garanties proposées.
Les différentes sortes de garantie en fonction du bien immobilier
De nombreuses garanties sont possibles en fonction de l’état du lieu et de l’existence de la bâtisse selon que cette dernière est récente, neuve ou ancienne. La garantie décennale concerne un logement de moins de 10 ans. La réparation de tout défaut constatée dans le ledit logement sera imputé au constructeur ou au promoteur.
Ce sont entre autres un toit ou des joints de terrasse défectueux ou une fondation mal faite, un défaut dans l’escalier menant à l’étage. La garantie des vices cachés se rapporte aux logements de plus de 10 ans. Dans ce cas précis, le vendeur ne connaît pas l’existence des défaillances. Ces dernières évitent à l’acheteur de profiter décemment du bien. Elles peuvent être des poutres fragiles, aux dessous de la laine de verre ou aux combles.
Ce qu’il faut savoir sur la garantie légale de qualité
La garantie légale est la garantie qu’une personne est tenue de donner à son acquéreur quand il vend un bien immobilier sur Myclermont. Les vices de titre et les vices cachés ne sont pas compris dans cette garantie. C’est le seul effet de la loi qui la régit. Il n’est pas indispensable de l’écrire en noir sur blanc dans le contrat, toutefois il faut disposer de toutes les informations indispensables. Le vendeur peut ignorer le vice et ce dernier peut être constaté seulement après la vente, mais ne modifie en rien la garantie.